« Mon cher Camus,
Beaucoup de choses nous rapprochaient, peu nous séparaient. Mais ce peu était encore trop : l’amitié, elle aussi, tend à devenir totalitaire. »
Camus a écrit son livre l’étranger à 1942. La France était occupée par l’Allemagne. Dans ce temps et après la deuxième guerre mondiale, l’Europe n’était pas détruite physiquement mais aussi sociale ou philosophique. Dans cette situation en France, c’étaient deux personnes principales qui étaient au centre de l’attention. Albert Camus et Jean-Paul Sartre.
Le deux se sont rencontrés la première fois à Paris. Ils s’entendent bien pour quelques temps mais les différences entre les deux avis politique avaient causé leur dispute.
Dans l’avis de Sartre, la violence et la peine dès l’Allemands sont légitimé pour réussir dans la mission de créer quelque chose meilleur. Camus n’était pas d’accord. Il a pensé que la violence et jamais justifié aussi si c’est pour une cause supérieure. C’était aussi la raison qu’il était contre la peine de mort et qu’il a dit que la règne de la terreur qui a suivi la Révolution française ou la violence en Russie n’était pas au hasard. Sartre était un des rares qui ont défendu Stalin à l’ouest.
Quelques années après un dispute publique entre Camus et Sartre (ça a marqué la fin de l’amitié entre les deux), l’Algérie le pays, d’origine du camus, a voulu devenir indépendant. Différents groups ont utilisé violence pour réussir à cette cause. Pour Sartre le cas était clair : la France a opprimé des gens algériennes, donc ils ont eu tout le droit pour utilisés tous les moyens pour révolté. Camus était choqué par la violence et a condamné les actes de terreur. Il a était citriqué de défendre le terreur du France mais l’idée principale de lui était seulement que violence contre des civils est jamais morale.
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